Depuis les années 1920, c’est l’extension balnéaire de Casablanca...
: La puissance coloniale voulait faire de ce littoral, au pied de la colline d’Anfa, une Croisette africaine, avec son cortège de villas, de grands hôtels et d’établissements de luxe ; ces projets restèrent dans les cartons, mais qu’importe, la mode de la Corniche était lancée.
La côte rocheuse ne permettant pas l’aménagement de plages, c’est dans les piscines alimentées en eau de mer que se retrouvait la bonne société casablancaise. Aujourd’hui, la promenade sur la Corniche vaut surtout
pour son ambiance, autour de ses terrasses et de ses restaurants.
. Le phare d’El Hank, construit par les Français en 1916, marque la limite orientale de la Corniche, tandis qu’à son autre extrémité (à 2 km) se trouve le marabout de Sidi Abderrahman.